Concert de musique brésilienne le 22 mai 2022 à Paris

Concert de musique brésilienne classique
 
du XXème siècle
 
 
Dimanche 22 Mai 2022
 
16h30
 
Au Regard du Cygne 
 
210, rue de Belleville
 
75020 Paris
 
Libre participation aux Frais
 
 
Musiques d'Heitor Villa Lobos, Arthur Napoleon, Francesco Mignone, 
 
Achille Picchi, Radamès Gnatalli
 
 
 
Pierre-Henri Ageorges : ténor
 
Olivier Tarpent : violoncelle
 
Laurent Cabanel, Jean-Michel Gourlain et Moyuru Maeda : piano 
 

Mélodies et musique de chambre de Lachaux, Liszt, Viardot, Vierne

Concert de mélodies et de musique de chambre :

LACHAUX, LISZT, VIARDOT et VIERNE

 

Samedi 20 novembre 2021

17 heures

Église Réformée Paris - Luxembourg

58, rue Madame - 75006 PARIS

 

Entrée libre - Libre participation aux frais

Réservation obligatoire : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

 

Voici un programme de concert qui propose de la musique de chambre pour violoncelle et piano rarement entendue d'un romantisme tardif du compositeur français Louis Vierne et du hongrois Franz Liszt. Ces deux compositeurs seront encadrés par des mélodies écrites par Pauline Viardot et Jeanne Lachaux. Si Pauline Viardot célèbre cantatrice que Liszt, lui-même avait destinée à une carrière de pianiste concertiste a su faire évoluer par ses compositions le style de la romance vers celui plus sophistiqué de la mélodie, celles écrites par jeanne Lachaux démontrent qu'avec un réel talent et dans un souci d'authenticité on peut encore utiliser un langage traditionnel sans pour autant sembler anachronique musicalement.

Concert Marguerite CANAL du 05 juin 2021 à PARIS


SAMEDI 05 JUIN 2020

18H30 - 20H30

 

CONCERT MARGUERITE CANAL

(1890-1978)

 

 

ÉGLISE RÉFORMÉE PARIS LUXEMBOURG

58, RUE MADAME - 75006 PARIS


RÉSERVATION OBLIGATOIRE

 

ADELA FARCAS : VIOLON

PIERRE-HENRI AGEORGES : CHANT

LAURENT CABANELMOYURU MAEDA : PIANO 

 

Le musicologue Mario Facchinetti disait d'elle en 1956 : « Marguerite Canal est une compositrice inspirée qui garde à la mélodie française le style de Fauré, Debussy et Duparc, style qui est sobre, noble et pur. »

Compositrice, cheffe d'orchestre et enseignante, Marguerite CANAL fut en 1919 la 2ème femme à recevoir le Premier grand Prix de Rome en composition musicale, à l’unanimité, avec les félicitations de Camille Saint-Saëns. 

 Elle fut également la 1ère femme à diriger un orchestre, en 1917, en l'occurrence celui de l'Union des femmes professeurs et compositeurs de musique (UFPC), lors de plusieurs concerts à Paris, au Trocadéro7 puis au Palais de Glace.

Le concert du 05 juin prochain vous propose de redécouvrir cette compositrice trop longtemps ignorée.

 

Au programme : musique de chambre et mélodies

 

Avec


ADELA FARCAS : VIOLON
PIERRE-HENRI AGEORGES : CHANT
LAURENT CABANEL, MOYURU MAEDA : PIANO

 

SAMEDI 05 JUIN 2020

 

18H30 - 20H30

RÉSERVATION OBLIGATOIRE

Comment la Blockchain pourrait révolutionner l’industrie musicale ?

Comment la Blockchain pourrait révolutionner l’industrie musicale ?

BLOCKCHAIN
 
 
 

Depuis les années 2000, l’industrie musicale a connu d’importantes disruptions : apparition du MP3, multiplication des réseaux de téléchargement « peer to peer[i] » et développement des plateformes de streaming. Celles-ci tendent à désavantager les musiciens qui s’estiment « lésés ».

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Le rappeur américain Eminem disait amèrement « quand je mets tout mon cœur et mon énergie à faire de la musique, j’aimerais être reconnu pour mon travail. Je fais de durs efforts pour fournir une chanson que n’importe qui peut retrouver sur l’ordinateur et télécharger gratuitement. A quoi servirait de faire de la musique alors ? ». S’il soulevait les problèmes liés aux téléchargements illégaux et leur rémunération, d’autres célébrités tirent aussi la sonnette d’alarme sur l’opacité de gestion des droits d’auteur.

Alors que les fausses notes demeurent encore nombreuses dans l’industrie musicale, la Blockchain et son système de confiance décentralisé offrent une alternative au système traditionnel.

Gestion de droits d’auteur et rémunérations : la chanson de la discorde

Vous avez sans doute déjà entendu parler des conflits entre les compositeurs et leurs maisons de disques ? C’est normal.

Le système sur lequel repose actuellement l’industrie musicale est complexe. Entre le compositeur et nous consommateurs, une chanson passe entre les mains de beaucoup d’intermédiaires dont des musiciens, des labels en charge de la production, d’édition et de diffusion, des sociétés de gestion collective en charge des droits d’auteur (SACEM), ou encore des fournisseurs de services numériques.

Ainsi, ces parties prenantes sont reliées par différents types de contractualisation.

Parfois, les artistes doivent attendre jusqu’à deux ans avant de toucher les versements des ventes de leurs musiques, soit après que tous les acteurs en aval de la chaîne aient pris leurs droits.

Selon Digital Music News, en 2018, les plateformes de streaming vendent en moyenne 0,89€ par chanson alors qu’elles en rémunèrent 0,012€ les artistes, soit 1,35% du prix de vente.

Le streaming a permis de relancer la croissance de l’industrie musicale, mais a renforcé le rapport de force entre les artistes et les autres acteurs. Or, la Blockchain a le potentiel de renverser les barrières héritées de l’industrie traditionnelle et de remettre les choix de l’artiste au cœur du système.

Redonner la voix au chanteur via la Blockchain

Concrètement, qu’est-ce qu’est la Blockchain ? C’est une technologie de stockage et de transmission d’informations transparente et sécurisée, fonctionnant sans organe central de contrôle.

Tous les utilisateurs sont reliés entre eux par un réseau. Les transactions entre deux utilisateurs sont regroupées par blocs et chaque bloc est validé par les nœuds du réseau. Le bloc est ensuite horodaté et ajouté à la chaîne de blocs visible à l’ensemble du réseau.

Par conséquent, une fois que le musicien décide d’utiliser la Blockchain pour diffuser sa création, il peut suivre toute la circulation de sa musique jusqu’à l’écoute, contrôler ses droits et les revenus des ventes en temps réel.

Il peut choisir, soit de mettre à disposition ses musiques directement aux audiences, soit de travailler avec d’autres acteurs de la chaîne utilisant les « smart contracts ».

Pour ce faire, les acteurs définissent au préalable de manière multilatérale, les conditions d’utilisation et de rémunération, qui une fois validées, seront automatiquement exécutées.

La Blockchain offre aussi la possibilité d’effectuer les transactions financières aux centimes près : on parle de modèle de micro-paiements qui se base sur la consommation réelle et peut remplacer le système d’abonnement actuel.

La Blockchain en musique : c’est pour bientôt ?

Vous vous dites certainement que c’est « trop beau pour être vrai » car sinon pourquoi ce système n’est pas déjà en place ?

Plusieurs initiatives existent déjà dont celle d’Imogen Heap, chanteuse Pop anglaise lauréate des Grammy Awards en 2010.

En 2015, elle a choisi de vendre son album « Tiny Human » à 6$ le téléchargement sur la plateforme Ujomusic fonctionnant sur l’Ethereum, un protocole d’échanges similaire à la Blockchain. En partie grâce à ces revenus, elle est allée plus loin en fondant Mycelia en 2016, une plateforme de distribution musicale décentralisée basée sur la Blockchain, offrant aux artistes la possibilité de contrôler les ventes en ligne de leurs œuvres en temps réel.

Certes, ce mouvement va certainement prendre beaucoup plus d’ampleur dans les prochaines années, mais comme dans d’autres secteurs voulant initier la Blockchain, les progressions avancent timidement du fait de plusieurs freins :

* Le frein technique : la vitesse des transactions est longue comparée aux systèmes actuels donc se posent des blocages à la massification des transactions

* Les freins politique et légal : comment gouverner et adapter les textes à une telle nouvelle technologie ?

* Le frein psychologique : tendance à associer la Blockchain à une technologie très complexe et l’implémentation requerrait de gros efforts de conduite de changement.

Reste à voir comment les magnats de l’industrie musicale parviendront à trouver réponses à ces questions…

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Concert lyrique et instrumental au château de Regnière-Ecluse le dimanche 19 avril 2020 à 15 heures

DIMANCHE 19 AVRIL 2020, à 15 HEURES, dans la chapelle du château de REGNIERE-ECLUSE (80), se tiendra le 3ème concert organisé par MUSICOMPOSER, proposant des oeuvres lyriques  et des pièces instrumentales.

Entrée libre, libre participation aux frais

 

Réservation obligatoire : 06.62.79.80.91 (Yves RINALDI)

Interprètes : 

  • Takako IGARASHI-PENTIER, piano
  • Isabelle MALET, soprano,
  • Marjorie MISSEMER, flûte
  • Philippe MOIROUD, baryton-basse,
  • Julien MORAUD, clarinette

Au programme : 

Pièces lyriques 

 

  1. 1.      Yves RINALDI : LE SILENCE DU LAC, duo.

Isabelle MALET, soprano, Philippe MOIROUD, baryton

Takako IGARASHI-PENTIER, piano

Durée : 4’50

 

  1. 2.      Yves RINALDI : APRES L’ORAGE, 1

Isabelle MALET, soprano

Takako IGARASHI-PENTIER, piano

Durée : 5’15

 

  1. 3.      Yves RINALDI : APRES L’ORAGE, 3

Isabelle MALET, soprano

Takako IGARASHI-PENTIER, piano

Durée : 2'30

 

  1. 4.      Yves RINALDI : IMAGINE UN BATEAU

Philippe MOIROUD, baryton

Takako IGARASHI-PENTIER, piano

Durée : 2'

 

  1. 5.      Christophe FRIONNET : LE LAC

Philippe MOIROUD, baryton

Takako IGARASHI-PENTIER, piano

Durée : 4’20

 

  1. 6.      Francis POULENC : LES PONTS-DE-CE

Isabelle MALET, soprano

Takako IGARASHI-PENTIER, piano

Durée : 3’04

 

  1. 7.      Francis POULENC : LES CHEMINS DE L’AMOUR

Isabelle MALET, soprano

Takako IGARASHI-PENTIER, piano

Durée : 3’35

 

  1. 8.      Gabriel FAURE : PUISQU’ICI BAS, TOUTE ÂME, duo

Isabelle MALET, soprano, Philippe MOIROUD, baryton

Durée : 2’55

 

  1. 9.      Jean-Louis PERU : LE GENIE

Isabelle MALET, soprano

Durée : 2’15

 

  1. 10.  Jean-Louis PERU : LA VALSE DU TEMPS QUI PASSE

Philippe MOIROUD, baryton

Takako IGARASHI-PENTIER, piano

Durée : 2’50

 

  1. 11.  Jacques IBERT : CHANSON DU DUC ET CHANSON À DULCINEE

Philippe MOIROUD, baryton

Takako IGARASHI-PENTIER, piano

Durée : 4'

 

 

Pièces instrumentales 

 

  1. 12.  Philippe DELAPLACE : ESCAPADE ENTRE CHAT ET LUNE, pour clarinette et piano

Julien MORAUD, clarinette ; Takako IGARASHI-PENTIER, piano

Durée : 5’20

 

  1. 13.  Jean-Louis FOUCART : SONATINE POUR FLÛTE ET PIANO

Marjorie MISSEMER, flûte ; Takako IGARASHI-PENTIER, piano

Durée : 14’

 

  1. 14.  Jean-Paul DAVEDRAL : BALLADE À CANDES-SAINT-MARTIN, pour flûte, clarinette et piano

Marjorie MISSEMER, flûte ; Julien MORAUD, clarinette ; Takako IGARASHI-PENTIER, piano

Durée : 8’

 

  1. 15.  Jean-Louis PERU : NEOLE, pour flûte et piano

Marjorie MISSEMER, flûte ; Takako IGARASHI-PENTIER, piano

Durée : 6’15

 

  1. 16.  Jean-Louis PERU GAËLLE, pour clarinette solo

Julien MORAUD, clarinette 

Durée : 7’20

 

  1. 17.  Francis POULENC : UN JOUEUR DE FLÛTE BERCE LES RUINES,pour flûte solo

Marjorie MISSEMER, flûte 

Durée : 1’30

 

  1. 18.  Francis POULENC : TOCCATA, pour piano solo

Takako IGARASHI-PENTIER, piano

Durée : 2’