Plusieurs fois j’ai cru entendre aussi un grand orgue jouer !
Si il y a parfois des accents de joie, c’est plus souvent le désir de se réjouir empreint d'une certaine mélancolie que l’on devine dans cette pièce musicale.
(Entre nous l’
hymne à la joie de Ludwig n"a rien de vraiment joyeux non plus)
Voici un petit relevé d’impressions notées à l'écoute : ( repères audio)
Début : Fête foraine percussions
4’23 : plus moyenâgeux
Fifres Pas que des cuivres Grand Orgue grande plage / grand orgue / orgue de détails
5’54 : beau chant des cuivres victorieux
6 ‘23 : pavane ; pompes et circonstances ….la Clarinette
7 ‘23 joie paisible
9’ 40 marche harmonique descendante
Et Musique Tonale
10'27 les percussions , Ah ! cela rehausse l’intérêt
14 ‘46 angoisse certaine
15’ : Stravinski ? oui.
16'23 incises répétitives …angoissées
17’: Bruckner ? cela lui ressemble un peu
18’ 22 jeux percussifs
23' : méditative plus que joyeuse
Conclusion : C'est une pièce généreuse et intéressante qui gagnerait à être reprise, de manière plus concise, destinée au grand orgue pourquoi pas ? elle raconte les moments de joie, furtifs ou secrets, glanés tout au long d'une journée ou même d'une période de vie ! Il faut les chercher ces moments joyeux, comme les animaux étranges peints dans les toiles du douanier Rousseau,
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Emilie