François Duhamel écrit:
la rudesse du langage syncopé évoque sans ambigüité le désarroi, le déchirement. Le violon illustre parfaitement cette disposition d'esprit, très bien mise en valeur par le piano.
Merci François. Tu as tout à fait perçu ce que je voulais exprimer dans cette musique. Et le violon pleure bien, en effet.
Nicodem écrit:
Ben, j'ai beau réécouter, sans être joyeuse elle n'est pas sombre non plus. Elle est dissonante, certes, mais chantante et énergique. Je ne ressens pas du tout le désarroi ni le déchirement. Je ne dois pas être émotionnellement câblé comme vous, désolé!
Merci Nicolas. Hé bien on verra ce qu'en pense les autres auditeurs, s'ils sont ou non d'accord "émotionnellement" avec toi.(en tout cas il n'y a rien de jazzy dans cette musique, ça j'en suis sûr !)