Tilda Reinitz

Tilda REINITZ

 

D’origine hongroise et roumaine, Tilda REINITZ se consacre essentiellement à la poésie. Titulaire d’une licence d’anglo-américain et du Diplôme de la Chambre de Commerce Britannique, elle a enseigné la civilisation et la littérature américaines à la Suny at New Paltz (State University of New York) ainsi que la langue et la civilisation américaines en France. Auteur de déjà plus de cinq mille poèmes encore inédits, elle collabore à plusieurs reprises avec le compositeur Yves RINALDI dans le recueil de mélodies Les Voix de l’Aube, avec trois textes (A l’aube d’un jour neuf, Ce soir…il fera jour, L’une d’entre elles) et également en rédigeant le livret de l’opéra Le Lac. Tilda REINTIZ travaille à l’écriture de plusieurs romans en même temps : Crimes, Elle ne savait plus, Êtres et lieux, Livre premier, Bouts et morceaux et Pauline eut un choc. Sensible à toutes les formes d’arts, elle a notamment pratiqué le chant choral (soprane première soliste) pendant presque dix ans.


LA POESIE DE TILDA REINITZ
Tilda REINITZ compose des poèmes depuis l’âge de 13 ans. La thématique de ses poèmes est empreinte des douleurs de la vie, l’auteur ayant du très tôt affronter de lourdes épreuves consécutives à un état de santé précaire ; le mot « douleur » prend toujours chez elle un sens qui dépasse le cadre de l’état d’âme littéraire pour se charger de ces souffrances réellement vécues qui s’inscrivent dans la chair. Ainsi, l’amour, l’amitié et la vie même, deviennent source d’espérance et chaque rencontre, un regard, un sourire illuminent l’horizon  d’un quotidien souvent monotone. Prisonnière d’un corps qui souvent la trahit, Tilda se met à voyager par l’esprit, parcourant le ciel et traversant les plus noirs nuages pour atteindre des rivages où l’attendent des êtres familiers. Bien des textes sont des mains tendues vers l’humain de tout un chacun. La richesse des métaphores et la rapidité d’écriture confèrent une grande fluidité à son style, lequel se prête à merveille à l’adaptation musicale et il n’est pas rare de rencontrer, au détour d’un vers, un anglicisme assumé, une ellipse grammaticale qui en étonnera plus d’un.

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